On ne meurt qu’une fois… mais de combien de causes ?

On ne meurt qu’une fois… mais de combien de causes ?
http://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/25432/534.population.societes.2016.causes.deces.fr.pdf

Quand une personne meurt, le médecin qui signe le certificat de décès en indique la cause, et il en
mentionne souvent plusieurs en décrivant leur enchaînement jusqu’au décès. Aline Désesquelles
et ses collègues nous expliquent l’intérêt de ce type d’information pour étudier l’évolution des
causes de mortalité dans un pays, ainsi que les difficultés des comparaisons internationales en
raison notamment des différences d’un pays à l’autre dans la façon de remplir les certificats.

Enquête permanente sur les accidents de la vie courante (EPAC) - 2016

Enquête permanente sur les accidents de la vie courante (EPAC) - 2016
http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Securite/Accident-de-la-vie-courrante/Quelques-chiffres

Les AcVC sont à l’origine de 5 millions de recours aux urgences, plusieurs centaines de milliers d’hospitalisations, etplus de 20 000 décès en France chaque année. Ils constituent ainsi un problème majeur de santé publique, pour lequel les actions de prévention sont essentielles et insuffisamment développées. La diversité et la multiplicité des circonstances et facteurs de risque de survenue des AcVC imposent de mettre en place des systèmes de surveillance épidémiologique variés, destinés à fonder les actions de prévention. Parmi les autres enquêtes existantes, l’Enquête permanente sur les accidents de la vie courante (EPAC) constitue un outil épidémiologique irremplaçable, pour contribuer à cette surveillance. Implantée dans une dizaine d’hôpitaux en France métropolitaine et un à la Réunion, elle permet de rendre compte des caractéristiques des AcVC ayant donné lieu à un recours aux urgences : lieu, activité et mécanisme de survenue, produits en cause, lésion et partie lésée, prise en charge aux urgences et à l’hôpital.

Écoute de musique amplifiée, analyse des comportements chez les 15-35 ans : résultats du Baromètre santé 2014

Écoute de musique amplifiée, analyse des comportements chez les 15-35 ans : résultats du Baromètre santé 2014
http://www.invs.sante.fr/beh/2016/2-3/2016_2-3_3.html

L’exposition à des niveaux sonores fréquents, intensifs et répétés de musique dite « amplifiée » est l’une des causes des troubles de l’audition. Selon le Baromètre santé 2014, parmi les 4 859 personnes de 15-35 ans interrogées sur le sujet, 13% ont un usage fréquent et intensif d’écoute avec un casque ou des écouteurs. Cette pratique concerne plus souvent les hommes, les habitants des grandes agglomérations et les plus jeunes, et elle décroît avec l’avancée en âge. Par ailleurs, 21% des personnes interrogées fréquentent régulièrement les concerts, discothèques ou autres lieux de loisirs avec des volumes sonores élevés. Il s’agit le plus souvent d’hommes, de personnes âgées de 20 à 24 ans, aisées financièrement et habitant les grandes agglomérations. Si la fréquentation des lieux de loisirs à volume sonore élevé est en diminution depuis 2007, la part des 18-35 ans ayant un usage fréquent et intensif d’écoute de musique amplifiée avec un casque ou des écouteurs a, quant à elle, été multipliée par trois, passant de 4% à 13%. Ces données suggèrent la nécessité de renforcer les interventions de prévention visant à préserver le capital auditif, en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes.

La France des régions 2016 - Approche socio-sanitaire

La France des régions 2016 - Approche socio-sanitaire
http://www.fnors.org/uploadedFiles/publicationsFnors/FranceDesRegions2016.pdf

Fédération nationale des observatoires régionaux de santé
Ce document vise à fournir une vision volontairement synthétique de l’état de santé de la population et de ses déterminants, basée sur une sélection d’indicateurs disponibles dans la base Score-Santé. Cette approche socio-sanitaire des régions 2016 s’articule autour de trois axes : un contexte général, l’état de santé à travers la mortalité et les affections de longue durée, et l’offre de soins de proximité. Ils sont proposés sous forme de cartes, de tableaux ou de graphiques. Enfin, pour aller au-delà de l’approche descriptive unidimensionnelle, les résultats d’une analyse multidimensionnelle sont présentés en guise de synthèse. Celle-ci permet de dresser une typologie des régions 2016 à partir d’une sélection plus large d’indicateurs, et de définir des groupes de régions aux caractéristiques proches

Quel est l’impact d’un changement du mode de relance des répondants « sans opinion » ? Caractéristiques des répondants, du dispositif d’enquête et des questions affectant la réponse « ne sait pas ».

Quel est l’impact d’un changement du mode de relance des répondants « sans opinion » ? Caractéristiques des répondants, du dispositif d’enquête et des questions affectant la réponse « ne sait pas ».
http://www.drees.sante.gouv.fr/quel-est-l-impact-d-un-changement-du-mode-de-relance-des,11589.html

Pour les personnes enquêtées, la difficulté à se prononcer sur des questions d’opinion varie d’une part selon le type de question et d’autre part selon le degré d’insistance des enquêteurs lors de leurs relances. Ces deux aspects sont traités distinctement dans ce dossier.
Les questions qui comportent des mots complexes, qui consistent à estimer des montants, ou celles placées à la fin du questionnaire génèrent davantage de « Ne sait pas », toutes choses égales par ailleurs. Certains thèmes, comme la retraite, qui nécessite de se projeter dans l’avenir, ou la protection sociale, qui fait appel à une évaluation du consentement à payer, suscitent également davantage d’indécision, vraisemblablement en raison du caractère plus abstrait des sujets abordés.