Compétences émotionnelles : leur influence sur notre santé, mentale et physique, et sur notre bien-être en général.

Compétences émotionnelles : leur influence sur notre santé, mentale et physique, et sur notre bien-être en général.
http://www.uclouvain.be/483041?__scoop_post=1c2a2cc0-7535-11e4-b125-842b2b775358&__scoop_topic=2525269#__scoop_post=1c2a2cc0-7535-11e4-b125-842b2b775358&__scoop_topic=2525269

Certains d’entre nous gèrent mieux leur stress ou expriment constructivement leur colère à leur interlocuteur. Cela fait partie de ce que l’on appelle les compétences émotionnelles.
 
Pour la toute première fois, une étude réalisée conjointement par l’UCL, la KUL et la Mutualité chrétienne (MC) prouve, chiffres à l’appui, l’influence concrète de nos compétences émotionnelles sur notre santé, mentale et physique, et sur notre bien-être en général. Atout des compétences émotionnelles, on peut les développer. 

« Les compétences émotionnelles (CE) font référence à la manière dont nous identifions, comprenons, exprimons, régulons et utilisons nos émotions. D’après la littérature scientifique, les personnes qui ont des CE élevées sont plus heureuses, ont moins de risques de développer des troubles psychiques, sont plus satisfaites dans leurs relations sociales et, toutes choses étant égales par ailleurs, sont plus performantes au travail. Mais, jusqu’ici, nous ne disposions encore d’aucune donnée scientifique permettant d’établir un lien objectif entre CE et santé. C’est aujourd’hui chose faite. », explique le professeur Moïra Mikolajczak de l’UCL, auteure de l’étude. 

L'environnement bâti autour des écoles et les habitudes de vie des jeunes : état des connaissances et portrait du Québec

L'environnement bâti autour des écoles et les habitudes de vie des jeunes : état des connaissances et portrait du Québec
http://www.inspq.qc.ca/Default.aspx?pageid=263&pub=1894

La plupart des études scientifiques montrent des liens significatifs entre les caractéristiques de l’environnement bâti, et l’alimentation, l’activité physique et le poids corporel des jeunes.
Les éléments qui semblent les plus associés au poids et aux habitudes alimentaires des élèves sont les densités des dépanneurs et des restaurants-minute dans le voisinage de l’école.
Les caractéristiques de l’environnement bâti ayant le plus d’influence sur l’activité physique sont l’accessibilité aux infrastructures de loisirs et, dans une moindre mesure, les éléments liés au potentiel piétonnier du quartier.
Un peu plus de la moitié des écoles publiques du Québec (58,9 %) sont situées à moins de 750 mètres d’un restaurant-minute.
Près des 2/3 des écoles publiques (63,6 %) ont au moins un dépanneur dans un rayon de 750 mètres.
La moitié des écoles publiques (51,2 %) ont au moins une infrastructure de loisirs à moins de 750 mètres.
Près des 2/3 des écoles publiques (63,3 %) les plus défavorisées ont un environnement bâti caractérisé par un potentiel piétonnier élevé.
Moins de la moitié des écoles publiques (42,7 %) ont au moins une piste cyclable dans un rayon de 750 mètres.
Des actions pourraient être mises de l’avant afin de développer des environnements plus favorables aux saines habitudes de vie autour des écoles.

OMS : La santé mentale: renforcer notre action



Aide-mémoire N°220  - Août 2014 - Principaux faits
La santé mentale fait partie intégrante de la santé; en effet, il n’y a pas de santé sans santé mentale.
La santé mentale est plus que l’absence de troubles mentaux.
La santé mentale est déterminée par des facteurs socioéconomiques, biologiques et environnementaux.
Il existe des stratégies et des interventions intersectorielles d’un bon rapport coût/efficacité pour promouvoir, protéger et recouvrer la santé mentale.

La violence dans les écoles au Québec

La violence dans les écoles au Québec

Dans un rapport du Groupe de recherche sur la sécurité et la violence dans les écoles québécoises (SÉVEQ) sont présentés les premiers résultats descriptifs d’une enquête visant à dresser un état des lieux de la violence dans les écoles primaires et secondaires québécoise et à le documenter au fil des ans.


L’évaluation d’impact sur la santé (ÉIS) et l’analyse des projets résidentiels pour promouvoir les déplacements actifs sécuritaires

 la présentation powerpoint

Conférence annuelle de l’ASPC, Toronto - Olivier Bellefleur, Julie Castonguay, François Gagnon et Louise St-Pierre  - Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la santé 
Émile Tremblay -  Direction de la santé publique (DSP) de la Montérégie