L'Observatoire des maladies rares mise sur les réseaux sociaux pour coconstruire le 3e plan national

L'Observatoire des maladies rares mise sur les réseaux sociaux pour coconstruire le 3e plan national
http://www.maladiesraresinfo.org/assets/pdf/Rapport_Observatoire_maladies_rares_2016.pdf

Après la thématique du parcours de santé et de vie, l'Observatoire des maladies rares a choisi les réseaux sociaux comme thème de son rapport 2016, diffusé fin octobre. L'association a ainsi étudié le principal d'entre eux : le forum maladies rares, qui rassemble plus de 200 000 visiteurs par an et propose plus de 180 communautés en ligne. 

Applis santé : la HAS établit 101 règles de bonne pratique

Applis santé : la HAS établit 101 règles de bonne pratique
http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2682685

Près de 50 000 applications santé sont actuellement disponibles et de nouvelles apparaissent chaque jour. Certaines proposent des conseils individualisés, recueillent des données personnelles (poids, tension, fréquence cardiaque,…), ou délivrent des informations médicales. Leur développement se fait toutefois sans cadre prédéfini, ce qui soulève de nombreuses questions concernant leur fiabilité, la réutilisation des données collectées ou le respect de la confidentialité notamment. C'est pourquoi la HAS publie aujourd'hui un référentiel de 101 bonnes pratiques pour favoriser le développement d'applications et objets connectés sûrs, fiables et de qualité.

Le patient, acteur clé de la santé numérique

Le patient, acteur clé de la santé numérique
http://www.psycom.org/Actualites/E-Sante/Article-Le-patient-acteur-cle-de-la-sante-numerique

[Le Mag Numérique] Sixième édition du cycle Hôpital Numérique, la journée se donnait pour objectif d’éclairer « La place du numérique dans la relation Patients / Professionnels de santé ».

Un marché à construire
Laurent Mignon, délégué général de l’association fédératrice des startups de la santé et du bien-être, France eHealthTech, dresse d’abord un portrait sans concession du marché de la e-Santé. Car si l’on observe de plus près les 2,7 milliards d’euros auxquels il est évalué, ils sont pour l’essentiel consommés par les systèmes informatiques et de façon marginale par la télémédecine. Le reste « n’existe pas encore vraiment » . Par contre, l’usage progresse : 65% des médecins utilisent un smartphone dans le cadre professionnel contre 35% en 2012. Mieux, 18% conseillent des applications à leurs patients contre 8% il y a 4 ans.

Agence française de la santé numértique : rapport 2015

Agence française de la santé numértique : rapport 2015
http://esante.gouv.fr/sites/default/files/asset/document/asip016_ra_016_web_simple.pdf

La transformation numérique se confirme chaque jour davantage comme un enjeu majeur pour la modernisation de notre système de santé. Après une décennie marquée par de multiples initiatives en quête de vision globale, la e-santé est arrivée à un moment charnière, où les pouvoirs publics doivent concrétiser les acquis tout en préparant l’essor des services de nouvelle génération.
Sur les bases d’infrastructures co-construites avec les acteurs, les technologies doivent désormais rencontrer les usages afin de pouvoir franchir très vite le deuxième palier numérique : celui de la mobilité, des objets connectés, du décloisonnement des secteurs sanitaire et médicosocial, de la donnée structurée, de l’open data… En résumé, celui du service immédiat et visible pour le professionnel de santé ou le patient. 

Bloguer sa maladie : 5 pistes de réflexion pour intégrer cette pratique au réseau de la santé

Bloguer sa maladie : 5 pistes de réflexion pour intégrer cette pratique au réseau de la santé
http://esantecommunication.com/2016/05/31/bloguer-sa-maladie-5-pistes-de-reflexion-pour-integrer-cette-pratique-au-reseau-de-la-sante-2

L’usage du blogue semble être en forte progression, autant pour trouver de l’information que pour partager son expérience de la maladie . Les patients blogueurs seraient de plus en plus nombreux, mais il est difficile de les chiffrer avec précision, compte tenu de la fluctuation de création / retrait des blogues et des lacunes des outils de mesure. Toutefois, selon l’estimation d’une étude américaine en 2014, 12% des adultes ayant une maladie chronique éditent un blogue sur leur expérience de la maladie et 28% de leurs pairs les lisent 
Le blogue semble être un outil particulièrement approprié au récit de l’expérience de la maladie, car il combine à la fois des fonctionnalités de la page personnelle qui n’est pas sans rappeler le journal intime  et celles du forum, où les lecteurs peuvent laisser des commentaires constituant une forme de soutien social.