Des leviers pour améliorer l’accès aux soins des jeunes en insertion

Des leviers pour améliorer l’accès aux soins des jeunes en insertion
http://www.injep.fr/article/des-leviers-pour-ameliorer-lacces-aux-soins-des-jeunes-en-insertion-10249.html

Dans le 31e numéro de jeunesses : études et synthèses, la MAFEJ fait la synthèse de 11 expérimentations portant sur la santé des jeunes en insertion et montre que l’amélioration de leur accès aux soins passe par deux types de leviers : un accompagnement social et/ou médical pour lever les freins informationnels et l’intervention de « médiateurs » auprès des jeunes les plus éloignés des institutions.

​Charte du parcours de santé

Charte du parcours de santé
http://www.uriopss-auvergnelimousin.asso.fr/section/auve_detail.html?publicationId=p2111479380426588

La Charte du parcours de santé, élaborée par la Conférence Nationale de Santé, est parue. Cette charte s’inscrit dans les orientations de la Stratégie nationale de santé.
Elle a été élaborée par la Conférence nationale de santé (CNS) à la demande de la ministre des Affaires sociales et de la Santé. Elle a été adoptée à l’unanimité le 6 juillet 2016.
Déclinée autour de 3 principes et 4 objectifs, son ambition est de :
1 - rassembler les professionnels et les usagers autour de la santé, 
2 - placer la relation usager-professionnel au coeur du dispositif, 
3 - s'appliquer à l'ensemble des étapes du parcours de santé (prévention, soins, réeducation-réadaptation, accompagnement...), 
4 - promouvoir le respect des droits des usagers, les conditions favorables à la réalisation de parcours de santé de qualité, sans rupture et adaptés aux besoins des usagers.

La Charte du parcours de santé

La Charte du parcours de santé

La Charte du parcours de santé, élaborée par la Conférence Nationale de Santé, est publiée et son ambition est de :
rassembler les professionnels et les usagers autour de la santé
placer la relation usager-professionnel au coeur du dispositif
s'appliquer à l'ensemble des étapes du parcours de santé (prévention, soins, réeducation-réadaptation, accompagnement...)
promouvoir le respect des droits des usagers, les conditions favorables à la réalisation de parcours de santé de qualité, sans rupture et adaptés aux besoins des usagers
>> Pour plus d'informations, téléchargez la Charte et le Guide ci-contre
http://www.uriopss-auvergnelimousin.asso.fr/resources/rhal/pdfs/annee_2016/K_novembre16//charte_parcours_sante.pdf
http://www.uriopss-auvergnelimousin.asso.fr/resources/rhal/pdfs/annee_2016/K_novembre16//Guide_Parcours_sante.pdf

Enfants de 0 à 16 ans déclarés médecin traitant, c'est maintenant !

Enfants de 0 à 16 ans déclarés médecin traitant, c'est maintenant !
http://www.fncs.org/enfants-de-0-a-16-ans-declares-medecin-traitant-c-est-maintenant

La nouvelle convention médicale signée entre les représentants des professionnels libéraux et l'assurance maladie précise les missions et les modalités de choix pour tous les patients, y compris pour les enfants de 0 à 16 ans, du médecin traitant. Ces dispositions sont directement transposables aux équipes des centres de santé. Cette déclaration s'inscrit dans la patientèle de référence de l'accord national des centres de santé.

Non-recours aux prestations et droits sociaux

Non-recours aux prestations et droits sociaux
http://www.gazette-sante-social.fr/dossiers/non-recours-aux-prestations-et-droits-sociaux

Le non-recours est le fait qu’une population potentiellement bénéficiaire de droits n’y accède en fait pas, volontairement ou pas, de manière temporaire ou permanente. Il concerne les prestations sociales mais porte aussi sur les droits sociaux, les prestations financières ou non financières dans tous les champs de l’action publique vers la population comme le droit au logement, aux soins, à l’éducation, à la culture,?etc., , selon Philippe Warin, directeur de recherche au CNRS et cofondateur de l’Odenore. Deux ans après le lancement du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, 40 à 70?% des bénéficiaires potentiels de prestations sociales n’en bénéficient toujours pas. Une triste spécificité française puisque le non-recours moyen oscille dans les pays de l’OCDE entre 20 et 40?%. Or, souligne Philippe Warin, «?le non-recours ne concerne pas que les prestations sociales mais l’ensemble des droits sociaux?». Simplification des procédures, accompagnement des demandeurs, les solutions sont connues. Le coût aussi évalué à 10?milliards d’euros. Une priorité ?