Système d’information nutritionnelle à cinq couleurs
http://invs.santepubliquefrance.fr/beh/2016/34/2016_34_2.html
Un système d’information nutritionnelle simplifiée à cinq couleurs (5-C), fondé sur le score des aliments de la Food Standards Agency britannique, a été proposé dans le cadre des nouvelles recommandations de santé publique nutritionnelle françaises. L’objectif de cette étude était de tester, auprès d’un échantillon de la population française, trois formats de logo à cinq niveaux de couleurs afin d’identifier le plus pertinent en termes de compréhension, de perception et d’impact potentiel sur les consommateurs et sur l’image des marques.
Trésor-Éco N°179 : Obésité : quelles conséquences pour l'économie et comment les limiter ?
http://www.tresor.economie.gouv.fr/14581_tresor-eco-obesite-quelles-consequences-pour-l-economie-et-comment-les-limiter
Alors qu'elles représentent un peu moins de la moitié de la population, les personnes obèses ou en surpoids contribuent à une part plus élevée des dépenses de santé (56 % pour les soins de ville et probablement davantage à l'hôpital). L'excès de poids entraîne en effet des conséquences sanitaires particulièrement néfastes : à la fois sur la morbidité, en accroissant le risque de contracter une maladie chronique, et sur la mortalité (13 % des décès en Europe étaient imputables à l'obésité en 2002). Cette dernière reflète également d'importantes inégalités sociales puisqu'elle est sur représentée chez les ménages modestes.
Politique nutritionnelle de santé publique française : du chemin reste à parcourir
http://www.cbnews.fr/marques/politique-nutritionnelle-de-sante-publique-francaise-du-chemin-reste-a-parcourir-a1027233
Eclairer les consommateurs sur la qualité nutritionnelle des aliments pour les aider à arbitrer leurs choix, tout en respectant leur liberté -la prévention « active »- ; favoriser l’accessibilité économique à des aliments de meilleure qualité nutritionnelle ; améliorer l’offre sans affecter le plaisir gustatif, et diminuer les apports en graisses, sucres et sel -la prévention « passive »… La politique nutritionnelle de santé publique française (PNNS) a déjà porté de nombreux fruits mais des mesures complémentaires s’imposent.
Projets alimentaires territoriaux : lancement de l'appel à projets 2016
http://agriculture.gouv.fr/sites/minagri/files/1411_al_projalimterr_cle0d96a5_0.pdf
Le ministère de l'Agriculture a annoncé, le 30 septembre 2016, le lancement d'un nouvel appel à projets dans le cadre du programme national pour l'alimentation. Cet appel à projets doté de 2 millions d'euros (dont une enveloppe de 500.000 euros de l'Ademe), visera à accélérer la mise en œuvre des engagements du dernier comité interministériel aux ruralités du 20 mai 2016, en particulier la création de projets alimentaires territoriaux (PAT). Ce comité s'était fixé comme objectif la labellisation d'un projet alimentaire territorial par département d'ici la fin 2017 et la création de 500 projets d'ici 2020. "Les PAT permettent de rapprocher les producteurs, les transformateurs, les distributeurs, les collectivités territoriales et les consommateurs pour développer l'agriculture locale et promouvoir une alimentation de qualité", précise le ministère.
L'appel à projets sera clôturé le 15 novembre 2016. La pré-sélection aura lieu début 2017 avant une présentation des projets retenus lors du Salon de l'agriculture.
En 2015, un appel à projets avait permis de sélectionner 21 projets pour un montant de 750.000 euros.
La SFN n’est pas favorable au système d’étiquetage proposé par la FCD
Vu sur le site de le site : http://www.nutrifizz.fr/la-sfn-nest-pas-favorable-au-systeme-detiquetage-propose-par-la-fcd/
La Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD) a annoncé il y a quelques jours, la mise en place d’un système d’étiquetage nutritionnel basé sur les fréquences de consommation.
Or la Société Française de Nutrition (SFN) estime que la méthode d’attribution des couleurs et fréquences de consommation, manque de transparence. De plus, cette démarche ne permettra pas de mieux informer le consommateur et ne permettra pas de valoriser les efforts menés par les producteurs et industriels en terme d’amélioration de la qualité nutritionnelle de leurs produits.
La SFN regrette qu’aucune base scientifique ne justifie clairement cette approche et s’interroge sur la référence faite « aux acquis scientifiques du PNNS ». La SFN rappelle que l’approche par les fréquences de consommation, utilisée pour les repères du PNNS notamment, ne concerne pas les produits manufacturés ou les marques.
La SFN demande « une concertation rassemblant l’ensemble des parties prenantes pour définir une position commune dans l’intérêt de la santé publique ».
Source : CP Société Française de Nutrition_18 mars 2015.pdf
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